DOCUMENTS 2018 du site de la FFTri
Réglementation sportive 2018
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Les distances officielles en triathlon et duathlon
Triathlon |
Natation |
Cyclisme |
Course à pied |
Distance XS |
400m |
10km |
2.5km |
Distance S |
750m |
20km |
5km |
Distance M |
1.5km |
40km |
10km |
Distance L |
3km |
80km |
20km |
Distance XL |
4km |
120km |
30km |
Distance XXL |
3.8km |
180km |
42.195km |
Cross Triathlon |
Natation |
Cyclisme |
Course à pied |
Distance XS |
250m |
5.5km |
2km |
Distance S |
500m |
11km |
4km |
Distance M |
1km |
22km |
8km |
Distance L |
2km |
44km |
16km |
Distance XL |
3km |
66km |
24km |
Catégorie d’âge |
Natation |
Cyclisme |
Course à pied |
Jeunes 6-9 |
50m |
1 km |
500 m |
Jeunes 8-11 |
100 m |
2 km |
1 000 m |
Jeunes 10-13 |
200 m |
4 km |
1 500 m |
Jeunes 12-19 |
300 m |
6 km |
2 000 m |
Duathlon |
Course à pied |
Cyclisme |
Course à pied |
Distance XS |
2.5km |
10km |
1.25km |
Distance S |
5km |
20km |
2.5km |
Distance M |
10km |
40km |
5km |
Distance L |
10km |
80km |
10km |
Distance XL |
20km |
120km |
10km |
Distance XXL |
20km |
180km |
20km |
Cross Duathlon |
Course à pied |
Cyclisme |
Course à pied |
Distance XS |
2km |
5.5km |
1km |
Distance S |
4km |
11km |
2km |
Distance M |
8km |
22km |
4km |
Distance L |
16km |
44km |
8km |
Distance XL |
24km |
66km |
12km |
Catégorie d’âge |
Course à pied |
Cyclisme |
Course à pied |
Jeunes 6-9 |
250m |
1 km |
250 m |
Jeunes 8-11 |
500 m |
2 km |
500 m |
Jeunes 10-13 |
750 m |
5 km |
750 m |
Jeunes 12-19 |
1 000 m |
6 km |
1 000 m |
Extraits du site de la fftri
Pratiquer
Avant de prendre votre première licence et vous conforter dans cette intention, n’oubliez pas qu’un club de triathlon, c’est :
- – un encadrement complètement adapté à vous, construit à partir de la connaissance des pratiquants, jeunes ou adultes,
- – la cohabitation de pratiques différentes, compétition ou loisir, pour des plaisirs tout aussi intenses,
- – la motivation trouvée dans un groupe d’entraînement au niveau approprié et la convivialité d’une structure associative,
- – une pratique sportive non monotone autour de trois activités sportives universelles : nager, pédaler et courir.
Conseils pour débuter
Par Tony Moulai – Ex-membre de l’Equipe de France de Triathlon
Vous vous apprêtez à effectuer votre premier triathlon et quelques conseils tomberaient à pic ? Vous êtes sur la bonne page ! Tony Moulai vous donne quelques astuces qui vous permettront d’anticiper cette grande première de manière sereine.
Installation du matériel :
L’arrivée dans le parc à vélo est le premier moment où l’on sent vraiment la pression nous envahir. Quelques conseils élémentaires : restez serein, concentrez-vous sur l’installation de votre matériel et repérez bien votre emplacement.
Natation :
Après vous être échauffé 5-10’ en courant, enfilez la combinaison avant le briefing. Dans l’eau, quelques accélérations vous permettront de préparer votre cœur à l’effort intense du départ et de vous habituer à la température de l’eau. Pensez à bien régler vos lunettes pour ne pas qu’elles se déplacent à cause d’un mauvais coup. La natation se fait dans une eau plus ou moins mouvementée, où l’on est encerclé de nageurs. Apprivoisez ce nouvel environnement grâce à une respiration relâchée et à une technique rythmée.
Vélo :
L’enchaînement natation-vélo va conditionner votre rendement des premiers kilomètres. Augmentez votre battement de jambes dans les 100 derniers mètres afin de les préparer à l’effort de la course. Pour un peu qu’il faille courir dans le sable, mieux vaut avoir sollicité ses jambes… Une fois sa place préalablement repérée et atteinte, enfilez votre casque et vos chaussures et enfourchez votre monture une fois la ligne franchie. Et c’est parti! Ne reste plus qu’à gérer votre effort. La suite est déterminée par votre niveau en vélo, ainsi que par le type de course, drafting ou individuel. N’oubliez pas, gérez votre allure !
Course :
L’enchaînement vélo-course est sans doute le plus spécifique et celui qui mérite un minimum d’entraînement. Avoir effectué des mini-enchaînements, au plus tard 4 jours avant le triathlon, me paraît judicieux. Apprenez à descendre de votre vélo, courez avec, posez-le, et enfilez vos chaussures, cela s’avère déterminant.
Une astuce pour partir sur un bon rythme : moulinez dans les 500 derniers mètres de vélo avant votre transition.
Bonne chance et prenez plaisir !
Récupération
Par Carole Péon – Ex-membre de l’équipe de France de triathlon.
Il est parfois mentalement difficile de se motiver à aller « tourner les jambes » pour récupérer une fois le triathlon terminé. Voilà quelques arguments qui pourraient vous aider à remonter sur le vélo ! Plus la récupération sera optimisée, plus elle sera courte et vous permettra d’être de nouveau compétitif rapidement ! Il existe des standards à respecter, mais il faut également apprendre à se connaître, faire avec les possibilités du moment et sentir ce qui nous correspond le mieux en tant qu’individu. Voici comment moi, Carole, qui cours sur des distances Sprint ou Olympique, je procède généralement…
Quelques outils pour bien récupérer :
musculaire, hydrique, énergétique, mental
Immédiatement après l’effort
– Dans les 30’ – 45’ après l’effort : un apport en glucides rapides et sels minéraux sous forme de boisson. Ainsi, je comble les pertes hydriques et une partie des pertes énergétiques. Plus on le fait rapidement après l’effort mieux c’est pour l’organisme. J’aime bien manger une banane aussi, cela contient pas mal de choses intéressantes pour récupérer. N’hésitez pas à « taper » dans les barres chocolatées offertes ! S’il y a un moment où ca ne fait pas de mal c’est bien là !
– Dans l’heure après l’effort : immersion en eau froide quelques minutes sur la course si cela est proposé ou à l’hôtel ou à la maison. Sous la douche, alternez 1’ à température corporelle 1’ à 15°c sur 10-15’. Cela aide à éliminer les toxines et mieux récupérer d’une manière générale que ce soit musculairement ou mentalement.
– Récupération active : je privilégie le vélo, entre 30’ et 1h, qui va permettre au sang de circuler sans imposer aux muscles de nouveaux impacts au sol et les traumatiser davantage. Personnellement, il m’arrive de ne pas aller courir le lendemain non plus. Cette récupération est néfaste si vous la faites sans avoir mangé et bu en amont…puisque vous allez puiser dans un organisme déjà usé par la compétition. Quand je le ressens, il m’arrive de faire une partie de ma récupération à une allure assez soutenue (en dessous du 1er seuil) mais en privilégiant la cadence plutôt que la force. Cela me permet de mieux récupérer. Si je ne le sens pas après la course, je le fais parfois le lendemain. Tout dépend de mes sensations musculaires et de la fatigue que je ressens. Il est parfois préférable de ne rien faire !
– Un massage léger ou drainage lymphatique : l’effort à pied est assez sollicitant et a tendance à « casser » les muscles. C’est pourquoi, il n’est pas forcément judicieux de faire un massage trop intense. L’idée est de détendre le muscle, éventuellement aider à faire disparaître quelques points douloureux et évacuer les toxines accumulées. Mais chacun ses goûts ! Moi c’est massage léger et stretching léger quelques heures après la course.
– Repas du soir : glucides lents (riz, pâtes), hydratation (eau gazeuse), plutôt viande blanche ou poisson.
Les jours suivants :
Ils vont dépendre de la date de la prochaine compétition et des traces qu’a laissé la compétition. Mais il faut, quoiqu’il en soit, penser à récupérer avant de retravailler. Faire attention à son alimentation, son hydratation, privilégier le massage, et les étirements et l’entraînement aérobie (facile) pas trop long dans un premier temps, puisqu’on cherche aussi à refaire des réserves d’énergie. La plupart d’entre vous travaille, c’est aussi à prendre en compte car la récupération sera un peu plus longue ! Have fun !
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